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sent sur la scène à travers des concerts tous les samedis dans les bars et restaurants de la place. Et c’est sur cette lancée et régularité que nous sommes devenus actuellement le groupe saint-louisien avec le plus grand public. « Nous évoluons dans plusieurs styles (…) On peut dire que nous faisons de la world musique. » Dans quel genre musical lez-vous ? Nous évoluons dans plusieurs styles (rire). Nous avons reçu une formation en variété musicale. De ce fait nous arrivons à jouer un peu de tout. Mais pour être plus précis nous évoluons dans un style afro beat / afro pop mélangé avec des sonorités et rythmes sénégalais. Nous faisons ausPage 58-Biramawa Magazine excelsi parfois du reggae. On peut dire que nous faisons de la world musique. Pouvez-vous revenir sur la genèse de L’orchestre Guneyi ? Qu’est ce qui a motivé votre choix pour la musique ? Notre papa est un ami d’enfance de monsieur Henry Guillabert (claviste, compositeur et arrangeur) du groupe Xalam 2. C’est ce dernier qui a influencé notre frère Papis le claviste qui disait depuis tout petit à notre papa qu’il voulait faire du piano comme tonton Henry. Notre papa aussi étant un éducateur lui avait trouvé un professeur du nom d’Oumar Sadio pour des cours de solfège. Quelques temps après nous faisions la connaissance de Aly Mbaye, c’est lui qui a formé le groupe en orientant chacun vers un instrument disant que ce n’était pas intéressant que tout le monde apprenne le clavier. C’est là d’où est venu le déclic.

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