compte les critiques constructives, c’est fascinant de se dire, chaque personne qui donne son point de vue (Bonne ou mauvaise) quelque part te pousse à travailler encore plus pour donner le meilleur. Je lis toutes les critiques, ceux qui font sourire comme ceux qui nous transperce. Et j’en sors heureuse, car je sais que j’ai fait le bon choix. Le magazine a notamment pour objectif de faire une « visite guidée » des métiers. Comment décririez-vous le métier de SHOWRUNNER ? Le métier de SHOWRUNNER c’est une course perpétuelle contre la montre. Il faut répondre aux exigences de la Maison de Production. Répondre aussi à un cahier des charges long comme un bras. Être derrière les équipes techniques, les acteurs, tout le monde quoi. Qu’est-ce qui vous a poussé vers ce métier ? « … nous sommes dans l’écriture de la Saison 3. » D’autres saisons sont-elles en vue ? D’autres projets ? Oui, nous sommes dans l’écriture de la Saison 3. J’espère qu’on aura la possibilité encore de nous raconter. Moi, je raconte nos histoires de femmes ! Je me suis entendue dire N mille fois que je ne réussirai pas ma vie et que je n’y arriverai jamais. Mes parents me l’ont dit, d’autres personnes aussi. Si je m’étais arrêtée à ça effectivement, je ne peux décrire la vie que j’aurai. En moi, je me suis toujours dit que « Meune nako » que j’étais capable de réussir ce que je veux. Et là, l’avenir m’a quelque part donné raison. J’aurai aimé avoir une moi, pour s’occuper de moi ! Quelles sont, d’après-vous, les qualités intrinsèques et les prérequis pour exercer le métier de showrunner? Biramawa Magazine-Page 35
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