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Je suis et je reste reconnaissante de l’accueil du public pour Dalanda. C’était pour moi un challenge à relever et ça fait plaisir de savoir que vous avez réussi cette première étape. Parce que pour moi, on peut toujours mieux faire. Je reste toujours la même Jessica qui gère sa routine habituelle en essayant de préserver au mieux son image. Je ne dirais pas que cette « reconnaissance » m’ait changée mais qu’elle m’a surtout ouverte au monde et appris à voir au-delà de mes peurs. C’est quoi votre secret ? (Rire) Comment en êtes-vous arrivé là ? (Rire) Mon secret ? On ne peut pas vraiment dire que ça soit un secret. Mais j’ai juste décidé de dépasser mes peurs, c’était ma résolution. Et lorsque vous êtes entouré de personnes qui vous encouragent et vous poussent à vous dépasser c’est le plus qui fait toute la différence, je pense. Laquelle des deux saisons vous a le plus marqué ? Et pourquoi ? Je dirais la 1ère parce que je découvrais une autre présentation de notre société et que le jeu des acteurs était époustouflant de talent. Tout simplement. En tant que femme, comment trouvez-vous l’industrie audiovisuel sénégalaise ? Biramawa Magazine-Page 17 « Il est important de pouvoir montrer aux jeunes femmes de demain que l’on peut être absolument tout ce que nous voulons être, notre seule limite c’est nous-même. » Votre personnage dans les séries parle d’une femme battante, avec des principes, et qui défend la cause des femmes. Comment vous décririez-vous dans la vie de tous les jours ? Je ne suis pas loin de mon personnage en ce sens et d’ailleurs je pense que la plupart des femmes de nos jours le sont. Il est important de pouvoir montrer aux jeunes femmes de demain que l’on peut être absolument tout ce que nous voulons être, notre seule limite c’est nous-même.

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