taires pour rester confinés. Aujourd’hui 250 personnes sont au centre, dont 148 enfants. L’ensemble du personnel est mutuellement très solidaire, ils sont comme une grande famille. Et ce malgré l’inquiétude pour leur famille respective à l’extérieur. Nous nous devons maintenir les salaires. Pour les salariés sur place mais aussi tout ceux, qui de chez eux, sont au chômage technique et pour qui nous souhaiterions maintenir le salaire initial. Nous devons aussi assurer l’approvisionnement de l’association en denrées alimentaires, produits d’entretien, d’hygiène, médicaments. Cette situation engendre une augmentation considérable nos dépenses quotidiennes, pour lesquelles nous avions déjà des difficultés de prise en charge tout au long de l’année. Du fait de l’absence de visiteurs et de bénévoles, nous constatons une baisse des dons au quotidien. Nous gardons aussi en tête que les jeunes accueillis en séjour de rupture peuvent à tout moment être rapatriés en France, en fonction de l’ évolution de la situation. L’avenir de la Pouponnière en deviendrait alors très incertain. Nous sommes en permanence à la recherche de soutien pour nous aider dans la prise en charge des frais de fonctionnement et Page 12-Biramawa Magazine (Budget total annuel 291 332 806 FCFA) • Vivre Ensemble Madesahel, séjour de rupture : 44 % du Voici quelques chiffres : Effectif de la Pouponnière : • La Pouponnière : 91 bébés de 0 à 2 ans. • Les Unités Familiales : 37 enfants de 2 à 6 ans. • La Grande Enfance : 20 fants de plus de le maintien des activités de l’association. en6 ans. • Enfants accueillis en ce moment : 148 • Enfants vés depuis janvier • Employés à la Pouponnière : 136 Les sources de financements : accueillis et sau2002 : 1 260
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