système stellaire, donc il suffit seulement de déployer des panneaux et la conversion de l’énergie solaire en électricité et nous voilà assurer une self efficience. Quant au biocarburant une aubaine pour un pays en voie de désertification et qui serait très profitable à toute la parallélépipède allant de Mpal, passant à Podor, descendant à Bakel pour se fermer à Mékhé, qui retrouvait une opportunité viable et digne de la caverne d'Ali baba en termes économique, agricole, industriel, de développement local, la revivification des contrées à réputation sujette à la victimisation, facilitant la reconsidération sylvopastorale, favorisant l'exode urbain qui de facto desserrera l'étreinte démographique plombant un centre urbain comme Dakar. Subséquemment des milliers de jeunes seront utilisés en opérateurs indépendants sur le modèle de Gora Ndiaye, pour repousser le désert, en implantant des oasis viables et bio. Il nous suffit de rediriger une partie des dividendes issues du pétrole afin de préparer l’après pétrole, dès la première goutte. Gora N’Diaye du village de Samba Dia un self made man dans la partie aride voir désertique de notre Sénégal, qui s’est donné l’idée de repousser les limites du désert sans attendre rien des gouvernants, il contribua à l’émergence d’une lueur d’espoir réaliste. Ce digne fils du terroir favorise l’éclosion d’Oasis viables, loin d’être égoïste de sa découverte, il forme et autonomise chaque année une ving34-BIRAMAWA MAGAZINE taine de jeunes qui se voient octroyer un hectare à mettre en pratique. Un tournant efficient vers le développement assuré pour les générations futures Le souci de la protection de l'environnement est une garantie pour le présent autant pour le futur, si nous amorçons la transition énergétique écologique. Nous n'aurons plus besoin d'aller à des bornes sous terre ou en mer pour trouver du pétrole, la peur de catastrophes écologiques comme les marées noires ou d'explosion de plates-formes, et le transport des matières premières sera plus assouplies donc moins de production de gaz d'effet de serre. Le bilan carbone négatif pourra nous permettre de capitaliser sur la vente de bons de crédits carbone vers les pays pollueurs et on diminuera au passage notre déficitaire balance commerciale, pour laisser place à un tableau idyllique plus rose garanti. Dans une large mesure, la base de l’Indice de Développement Humain c’est l’éducation, le gap scientifique avec les pays développés ne sera qu’un lointain souvenir une fois qu’une incidence conséquente sur la résorption du retard scientifique est consentie en investissement sur le système éducatif. Surtout si cette mutation est une réorientation de l'éducation
35 Publizr Home